Notre équipe féminine de Nationale 1 (Juliette Devaux, Cecilia Diaz, Christine Frédéric et Gaëlle Lamotte) rencontrait ce samedi Bishwiller 2. Gaëlle, capitaine commente le match : « Sixième moyenne elo sur huit équipes, nous rencontrons les gamines de Bishwiller à la première ronde. Cécilia et Julliette perdent logiquement, je gagne parce que mon adversaire a oublié un alignement meurtrier et Christine craque dans la finale. Tarte flambée ce soir pour nous remonter le moral ! »
La défense Nimzo-indienne
La défense Nimzo-indienne fait partie des ouvertures semi-fermées. Très populaire, elle se caractérise par les coups 1.d4 Nf6 2.c4 e6 3.Nc3 Bb4. . Elle fut élaborée dans les années 1920 par le courant hypermoderne, en particulier par le grand joueur Aaron Nimzowitsch., mais elle apparut pour la première fois au tournoi de Saint-Pétersbourg de 1914, où Alexandre Alekhine l’utilisa contre Akiba Rubinstein. La Nimzo-indienne a la réputation d’être sans doute la meilleure défense contre 1.d4.
La plupart des champions du monde lui ont fait confiance à un moment donné de leur carrière. Quand les Noirs jouent la Nimzo-indienne, ils se trouvent très rarement en retard de développement, raison pour laquelle ils ne se font pratiquement jamais écraser dans l’ouverture par une attaque éclair. Le principal et pour tout dire seul problème des Noirs est qu’ils acceptent de perdre leur Fou de cases noires, ce qui affaiblit légèrement leur aile roi et concède aux Blancs la légendaire paire de Fous. Mais les Noirs obtiennent toujours une compensation en échange de cette concession stratégique, que ce soit une meilleure structure de pions (pions doublés blancs sur la colonne c, isolés, ou pions pendants dans le camp ennemi, etc.), une majorité de pions au centre, ou un avantage de développement considérable qui leur permet, par un jeu énergique, de maintenir l’équilibre.
Quentin, au travers de deux parties, nous donne quelques schémas de jeu.
Préparez vos godillots pour une nouvelle Rando-blitz pour mettre en forme vos petits mollets tépégiques ! Je vous propose Les cabordes des Équegney, une petite randonnée de 7 kilomètres aux environs de Besançon, avec au mitan, bien évidemment, des tables pour le pique-nique tiré du sac et blitz pour la digestion, ou tournoi de pétanque pour les moins acharnés. Cette randonnée sera ouverte à tous, adhérents et non-adhérents, et vous pouvez venir accompagnés. Bonne occasion pour les joueurs non licenciés de venir à notre rencontre et de découvrir qu’un club d’Échecs n’est pas un rassemblement de personnes trop sérieuses et ennuyeuses et que notre jeu, notre passion soit, ne reste qu’un jeu où l’on doit prendre plaisir et s’amuser. Rendez-vous un dimanche à définir en fonction de la météo à 10 h au point de départ, le parking à côté de la mairie d’Avanne (voir sur Google Map). Les flemmards pourront nous retrouver sur les coups de midi devant l’entrée du fort.
Partant de l’église d’Avanne, vous longerez la rivière, grimperez vers des cabordes, anciennes cabanes vigneronnes en pierres sèches, puis au Fort de Planoise ou Fort Moncey, bâti en 1877, premier rempart défensif de la cité bisontine. Vous passerez en revue de nombreuses batteries et fortifications d’un pas militaire, puis vous ferez halte aux belvédères superbes, l’un sur Besançon et ses collines, le second au sud, sur la vallée du Doubs et les monts jurassiens. Carte IGN et dénivelé.
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