Archives par mot-clé : Parties commentées

Coup de fourchette !

Jean joue, contre toute prudence, la fourchette tentante g4, pensant gagner le N noir.
Chadi lui rappelle aussitôt, qu’avoir un bon coup de fourchette peut être indigeste !

À malin, malin et demi

Trouverez-vous le joli coup de Rayan lui assurant le gain ?


Rayan joue Rxe6, ne sentant pas venir le danger. Evan lui rend la monnaie de sa pièce. Comment ?

Rentrée tranquille

Dans cette position, Christophe améliore sa position tranquillement par Rad1,
mais il pouvait assurer le gain immédiatement. Le verrez-vous ?


Jean-François joue Rg4+ qui gagne paisiblement la Q . Mais la mort du K est proche !

Un grand classique

Dans cette position, Chadi poursuit son développement tranquillement par Be6
sans voir le grand classique qui lui assurait le gain immédiatement. Le verrez-vous ?

Benjamin est sans merci !

Quelques amis du club de Metz organisèrent, les 23 et 24 Mai, un marathon de blitz gratuit de 24 h, au profit de l’hôpital Mercy de Metz pour la lutte contre le COVID-19. Benjamin y participa et nous envoie ce joli coup tactique.

Les Noirs viennent de jouer Bf5. Que répondent les Blancs ?

Le Quiz

Qu’est-ce que le Zugzwang :

1. être obligé de jouer ?
2. il n’y a plus qu’un seul coup jouable ?
3. placer une pièce devant un pion adverse de façon à bloquer son avance ?

Six bonnes réponses sur 12, donc ½ point ! La nuance peut paraître subtile, mais elle existent entre zugzwang et coup forcé :


Le zugzwang est un désavantage, le seul fait d’avoir à jouer, entraînant la perte de la partie quelque soit le coup. Le camp en zugzwang n’affaiblirait pas sa position s’il avait le droit de ne pas jouer. Le fait d’avoir le trait constitue alors un désavantage. Plusieurs coups sont éventuellement possibles, mais seront tous défavorables. Plus fréquent en finale, le zugzwang peut également se produire en milieu de partie. Il vient de l’allemand zug, se déplacer, et zwang, contrainte.

Plus que tout autre joueur, Nimzowitsch excellait dans l’art de conduire son adversaire au zugzwang. Voici son Immortel Zugzwang contre Friedrich Sämisch. Cette partie fut appelée ainsi en raison du remarquable dernier coup : 25. h6. Nimzovisch ne fut cependant pas satisfait de sa victoire. Il estima que son adversaire n’était pas au mieux de sa forme et il dut être persuadé par ses éditeurs pour inclure cette partie dans son livre Die Blockade et quand il accepta, ce fut avec des excuses à son cher collègue.


Un coup forcé est un coup obligatoire si l’on ne veut pas perdre. Par exemple la prise d’une pièce, oblige habituellement à reprendre. Les combinaisons sont principalement basées sur des coups forcés : échecs, échanges de pièces, protection de pièces entraînants une variante forcée.


L’une des parties les plus extraordinaires jouée par Tal fut sa victoire contre le maître suisse Dieter Keller au tournoi de Zurich 1959. Trouverez-vous le coup de baguette final du magicien de Riga ?


Le blocus, c’est placé une pièce devant un pion adverse de façon à bloquer son avance. Le pion ennemi fournit un abri à la pièce qui la bloque, le protégeant ainsi des attaques de pièces ennemies. Un blocus est plus efficace contre les pions passés ou isolés. Le cavalier est la pièce idéale à utiliser comme bloqueur.

Éric coule une bielle… Oh ruse !

Mikalai pouvait profiter du mauvais placement des pièces blanches. Comment ?

Un Goosens et un mat là !

UNE RÉFLEXION SUR « UN GOOSENS ET UN MAT LÀ ! »